Τρίτη 6 Αυγούστου 2013

ECRIT POUR SORTIR DE LA TIMIDITE

Dans la solitude tu crois`a l`amitie et`a un regarde afflige.
Lyriqui omorphia n`est pas la fourrure mais les idees qui
touchent. Elle est aussi subjective, mystique des souvenirs
et de ca que tu as honte me raconter... Se defendre
comme Boris Pasternak enseigne "J`aime ma vie et je suis
content d`elle, je n`ai pas besoin qu`on lui applique une
dorrure supplementaire. Une vie sans secret et sans
effacement..." Les sculptures du socle en plat presqu`
un dessin sur le mur, au parterre.
Une rouillee au dessous d`une brillante par la lumiere,
suit une monochrome avec la ligne d`une craie autour
de lui et le rouge jaune d`or.
Tu as plonge tes doigts dans un verre plein de la couleur
puis tu avais jette beaucoup de couches systematiquement
avec force sur le canson. Jusqu``a maintenant tu avais
utulise l`encre avec l`acrilique l`eau du javel, les taches
du mazout et d`accident, le sable dans l`uile.
Sur  le tissu et au toile du jutte froisse et presentes sans
chassis, il y a une autre image grace`a l`ombre.
Le carton d`embalage gratte est un peu plus important
couppe`a la bordure.
Ton epilogue decrit d`une phrase de Blaise Cendras.
"L`art est une verite profonde, et qu` il est difficile
de contenter, c`est un phenomene aussi complexe que
la vie et pour vivre il faut peiner aimer souffrir."

                                                  L`aout 1981 N.K    

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